Le jardin de CL se pare de ses couleurs chaudes d’automne pendant que les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon coeur d’une langueur mono… AH !
C’est le début de l’automne et pour ouvrir cette magnifique saison, on vous laisse être.. euh.. bercé ? Par la prose des Cakes.
Comme pour les précédents post – les mots qui devaient être placés et choisis avec soins par les Cakes sont mis en évidence (en gras). :O
Il va sans doute songer à attribuer ces œuvres au canal #malaiseTV.
Poème de Flo – “Le Père Vers” (-18)
Un dimanche matin, sortant de mon AUTOMATANK devant l’église, J’entendis le curé du village faire sa PARENESE, une SARDINE VOLANTE à la main.
“Ou sont les petit PACHYDERNE en GRENOUILLERE?” me demanda t’il lorsqu’il eu fini.
ULTRACEPIDANISME que je suis, je me demanda ce qu’il voulait dire.
“Tu sais que tous les petits du village sont atteint de BUTYROPHOBIE mon fils?”
Soudain, mon ERP neuronal sortit du coma.
LIBEREE, DELIVREE depuis toute ses années …
“Mon Père, pourquoi avez vous toujours était si dur avec les enfants !!”
Il me regarda, un sourire aux lèvres. “Comment rendre un MR FREEZE moins dur mon fils…?
Poème de Kyokai :Le Farfadet, la Lalafell et ses amis.
C’est l’histoire de… Attends, attends, attends ce n’est pas simple comme histoire… C’est l’histoire d’un farfadet, il se promène dans la lande et c’est bourré de menhirs.
Alors le farfadet il est, il est… Et puis tout à coup… Il entend une petite voix… Oh, une toute petite voix. C’est une lalafell qui est là-bas au loin, elle est perdue derrière un menhir.
Alors il se met à crier : « Hé ho ! Hé ho ! Qui es-tu ? »
La lalafell lui répond : « Je suis Momo et je suis brave ! Mais perdue et je cherche mes amis, pourrais-tu m’aider ? »
Le farfadet lui propose alors de partir chercher ses amis avec elle. Sur le chemin ils croisent Eankh, une miqo’te entrain de cueillir des Yuzus, le farfadet demande à Momo : « Serait-elle une de tes amis », « Oui » lui répond-elle, « Mais huit d’entre eux sont encore perdus ».
Ils continuèrent donc tous les trois leur chemin dans l’espoir de retrouver les autres. Quand tout à coup, ils entendirent un bruit suspect, comme des petits gémissements. Quelle ne fut pas leur surprise quand derrière un buisson ils virent, Rolmops, Floccoon, Ositha et Amex prendrent en levrette, chacuns leur tour avec un magical gode, le chihuahua de Flora… «
Oh mon Dieu, mais arrêtez cela ! » dit Momo complètement affolée. Par la même occasion elle aperçue plus loin, Emi, qui, elle préférait faire de l’erotographomanie dans son livre de recueils. Ositha qui avait des tendances sycophantes ne se gêna pas pour dénoncer Floccoon, l’instigatrice de cette débauche anticonstitutionnellement contraire à la politique de ce pauvre chihuahua qui n’avait rien demandé…
Face à cette situation plus que gênante et farfelue, tous décidèrent de signer un contrat synallagmatique pour ne plus jamais parler de cette histoire. Momo, Eankh et le farfadet se demandèrent alors où pouvaient bien se trouver leurs deux derniers amis manquants.
Tous répondirent alors que LeLotus et La Cheffe des rôlistes étaient restés à la cabane plus loin dans la vallée, pour y planter des orchidées. Tous deux, de peur de se faire piquer par les insectes de la lande et d’attraper un érysipèle, avaient préférés rester sur place.
Ils décidèrent donc de poursuivre leur chemin en direction de la cabane. Une fois sur place, il était déjà tard et tous étaient exténués de leur (més-) aventure.
Cela ne les empêcha pas à la nuit tombée, de faire un festin et de boire jusqu’à plus soif. Le farfadet et Momo étaient heureux d’avoir retrouvés tous leurs amis, malgré que le chihuahua lui, ne pouvait plus s’asseoir…
Comme tout bon farfadet qu’il se doit, il se mit à danser, danser, danser !!!
Et entraîna tout le monde avec lui jusqu’au bout de la nuit. –